Ruslan Malinovskyi, le soutien-gorge pour le pied
L’Ukrainien a fiché s’est appuyé à ses concitoyens lors du premier de ses deux magnifiques buts jeudi, qui ont permis à l’Atalanta de vaincre l’Olympiakos (3-0) en 16e de finale de la Ligue Europa.
Ruslan Malinovskyi (au centre) à ce grand artisanat de la victoire de l’Atalanta sur la pelouse de l’Olympiakos.
AFP
Tomas Vaclik a atteint la qualification pour les 8e de finale de la Ligue Europa lui filer entre les jambes. Quelle étrange ouverture du score a concédé ici l’ancien gardien du FC Bâle jeudi soir. L’Olympiakos avait bien 10 moyens différents de s’en sortir et de pouvoir encore croire en un avenir européen, après avoir perdu l’aller 2-1 à Bergame. Sauf que Joakim Maehle s’est joué comme d’un amateur de Kenny Lala, important dans la surprise le portier tchèque, pris à défaut par un petit pont. La porte du tour suivante était dès lors grande ouverte pour l’Atalanta de Remo Freuler, vainqueur 3-0.
L’international suisse reste discret, bien aidé par une double confrontation discrètement gérée par ses partenaires. Face à des Grecs sans grandes idées, il n’y a vraiment que Ruslan Malinovskyi qu’afini par sortir du lot. Sous son maillot bleu et noir, l’Ukrainien avait glissé un t-shirt de soutien à son pays. Il aurait eu toutes les raisons du monde d’avoir la tête à autre choisi qu’un match de foot, mais le milieu de terrain a trouvé le moyen d’enregistrer deux buts superbes. Le premier faisant apparaître l’inscription «Pas de guerre en Ukraine».
Leipzig, Porto et Séville ont eu chaud
Les trois autres confrontations du début de soirée ont connu un épilogue tardif. Leipzig aux assistants de la 89e et un penalty à Emil Forsberg pour la défaite définitive de la coriace Real Sociedad (3-1, 5-3 en deux matches). Porto sera également du rendez-vous des 8es. Les Portugais, qui ont signalé l’aller 2-1 face à la Lazio, font peur en voyant Ciro Immobile remettre les compteurs à zéro des 19e. Mehdi Taremi et Mateus Uribe ont inversé la tendance, devant Danilo Cataldi et refasse poindre la menace des prolongations en égalisant. Le score restait à 2-2. Bref, Séville à tenu bon jusqu’au bout, quitte à batailler à 10 pendant les arrêts de jeu. Le Dinamo Zagreb a poussé pour enfiler le mais qui lui manquait. en vain Les Espagnols, défaits 1-0 jeudi, l’importent 3-2.
Les quatre derniers qualifiés ont été confirmés à l’issue d’une soirée animée notée pour un choc Naples – Barcelone. Les deux équipes s’étaient quittées deux à dos à l’aller (1-1).
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