La date de la fête du mercredi. Mais la douleur est toujours vive. Et du côté de Manchester City, essayez de panser ses playies. Surtout, une fois que j’ai compris ce nouvel échec. Ce sixième en autant de tentatives pour Guardiola. Du coup, pour une partie de la presse, le principal coupable est tout désigné.
Depuis deux jours, le Catalan essuie de nombreuses critiques acerbes outre-Manche. Dont celle d’avoir osé faire match nul avec King Kev à la 72e minute du match. Du moins, c’est ce que pensait Gabriel Agbonlahor, ancien attaquant d’Aston Villa. “On ne sait jamais ce qu’il peut se passer avec De Bruyne”J’ai expliqué au Chroniqueur sur talkSPORT. “Lorsque l’on observe le parcours du Real, on sait qu’il peut revenir. Les joueurs l’ont fait contre le PSG puis Chelsea. Avec cette connaissance-là, tu ne sors pas ton talisman Kevin De Bruyne. Surtout pas à le 72e.”
Pour Sky Sports, la donne est plus nuance que cela. “Ce retrait précoce à un moment crucial du match illustre le fait qu’il n’ait pas été à la hauteur”commencer au milieu « Mais il serait injuste de lui imputer l’échec de City. Le but est arrivé juste après sa sortie. de son équipe. Don notamment la superbe volée pour le lancier Bernardo Silva.”
De plus, c’est également le deuxième plus gros dribbleur et tireur des Citizens face à la Casa Blanca. “Peut-être n’était-il pas tout à fait lui-même, mais City avait de plus gros problèmes ailleurs”confrères concluants nous.
Pour SoFoot aussi, Pep Guardiola a effectué des choix douteux. Et il n’y a pas que celui du Belge de 30 ans. « They are coaching n’a peut-être jamais été payant, et on pourrait même penser qu’il a plombé son équipe dans les derniers instants »confrères français sur leur site internet. “On peigne en revanche pour comprendre pourquoi, par exemple, Riyad Mahrez a cédé sa place à Fernandinho. (…) Et on ne peut pas dire que Raheem Sterling, je suis entré dans les dernières ressources pendant la prolongation pour tenter de sauver les meubles, ça brillait par sa voyance”.
“Kevin n’a pas joué un match brillant”
Tout le monde ne partage pas le même avis. Pour une autre partie des médias, Pep n’est pas en faute. C’est du moins ce que pensent les revues du journal L’Équipe. “Le coaching de Pep Guardiola n’a pas particulièrement fait débat, non plus”journal commence. “Kevin De Bruyne est méconnaissable, Kyle Walker est un puissant attaquant plus, et les deux titulaires, Olexandre Zintchenko et Ilkay Gündogan, décident de la construction de Riyad Mahrez qui a longtemps permis à City de s’incliner 1-0.”
Sur Sporza, Gert Verheyen n’a pas non plus été offusqué par le choix de l’ancien entraîneur du Bayern. “Pour moi, il n’a pas fait d’erreur. Il a remplacé De Bruyne, mais Gündogan est à l’origine de l’attaque sur laquelle City marque et il n’est pas non plus un moins bon joueur que Kevin De Bruyne “en-il a commencé sur Sporza. “Kevin n’était pas brillant. Il a juste joué une rencontre normale selon ses standards. Je ne pensais pas qu’on puisse reprocher quoi que ce soit à KDB ou Guardiola”.
Difficile de savoir si le maître à jouer des Skyblues aurait pu apporter quelque chose pour cette fin de match. Mis de côté ce week-end lors de la victoire contre Leeds, le joueur était censé être physiquement prêt. “La fraîcheur est toujours discutable en fin de saison mais je me sens bien. J’ai reçu beaucoup de coups contre l’Atlético (NdlR : en quart de finale) mais je tu vas bien”, J’avais-il déclaré en conférence de presse avant le retour du Real.
Force est de succession qu’il na pas pu contribuer ce qu’il voulait pour faire basculer cette rencontre. Il lui reste quatre journées de Premier League pour s’offrir beaucoup de consolation. City un point positif que Liverpool. Mais les Reds semblent avoir pris un ascendant psychologique. On a choisi cette Certaine, Pep Guardiola embrasse un grand KDB pour conserver sa couronne d’Angleterre.