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Le Président de la FIFA et le Président du Brésil se rencontrent au Stade de Lusail, lieu de la finale de la Coupe du Monde de la FIFA, Qatar 2022™.
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M Infantino : “La Coupe du Monde de la FIFA est une opportunité de découvrir d’autres cultures.”
Le président de la FIFA, Gianni Infantino, et le président du Brésil, Jair Bolsonaro, se rencontrent à Doha, comme prévu pour la Coupe du Monde de la FIFA, Qatar 2022™. Ils ont pu vérifier que les préparatifs de la phase finale sont largement en avance sur le planning.
Après la récente qualification du quintuple champion brésilien pour la victoire suprême du football mondial, les deux présidents se sont rendus au Stade de Lusail. Cette enceinte qui sera bientôt inaugurée accueillera la finale de la FIFA Coupe du Monde prochaine, le 18 décembre 2022.
“Cet événement aura le même effet sur les amoureux de football qu’un magasin de jouets sur un enfant”, a déclaré le président Infantino. “Nous aurons là huit stades à la pointe de la technologie, huit enceintes parmi les plus belles du monde, dans un rayon de 50 kilomètres autour de Doha, donc cela s’annonce extraordinaire”.
Deux autres équipes nationales qualifiées pour la phase finale de la première Coupe du Monde de la FIFA disputée au Moyen-Orient, qui ne veulent pas alimenter l’effervescence jusqu’au cap symbolique environ 365 jours avant le coup d’envoi, la date du 21 novembre. , 2021.
“La Coupe du Monde, c’est l’occasion de découvrir d’autres cultures et d’autres peuples”, commente M. Infantino. “Nous vivons aujourd’hui dans un mundo qui ne fait qu’un, dans un monde globalisé. Il est beaucoup plus facile qu’autrefois de voyager pour aller à la rencontre des gens. Mais nous sommes encore pleins de préjugés par rapport à d « D’autres régions du monde. Donc je me félicite que cette Coupe du Monde soit disputée pour la première fois de l’histoire dans un pays arabe”.
Je suis convaincu que ceux qui se rendront dans ce coin du monde l’année prochaine verront et se retrouveront un peuple chaleureux et accueillant. Cela ne concerne pas tout le Qatar, cela concerne le monde arabe tout entier, tout le Moyen-Orient. Il s’agit d’une opportunité unique pour nous tous de mieux nous connaître. Et je suis certain qu’en nous connaissant un peu mieux les uns les autres, nous deviendrons tous de meilleures personnes”.
